Omen: A Reign of War
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Omen: A Reign of War
Deuxième jeu Smallboxgames, Omen est plus complexe et plus riche que Hemloch, même si je trouve qu'il a moins de charme (j'aime bien la simplicité apparente et les illustrations d'Hemloch). Pour vous donner une idée, on est ici plus proche niveau complexité d'un jeu comme Gosu.
Tout comme Gosu d'ailleurs, on retrouve le gros deck unique dans lequel tout le monde pioche... mais, et c'est un des gros points forts du jeu, l'auteur a également intégré de nombreuses variantes : draft pur, draft par type de carte, deckbuilding, deck identique pour chaque joueur, etc. Bref, on peut varier les plaisirs.
Dans ce gros deck, on trouve trois types de cartes :
Soldats
Oracles
Bêtes
Sur chaque carte, on peut voir de haut en bas : son coût en Or, sa valeur d'Offrande, sa Force et une capa. Les Soldats (présents en x4 dans le deck) ont tous une capa qui se déclenche à la pose, les Oracles (x3) ont une capa qui se déclenche dans une phase précise et nécessite de révéler un autre Oracle sur le dessus du deck pour être améliorée, les Bêtes (x3) n'ont aucune capa si on les pose (mais beaucoup de Force), en revanche on peut toujours payer leur coût et les défausser pour déclencher un effet souvent violent.
Il y a également 12 cartes Faveur, posées en trois piles entre les deux joueurs (ce sont les Cités qu'il faudra attaquer), et un set de 6 cartes Exploit identiques par joueur, posées face-up.
Le tour d'un joueur se décompose comme suit :
1. Richesse > 3 actions à dépenser, soit pour piocher, soit pour gagner 1 Or. Si on dépense ses 3 actions pour faire la même chose, on peut prendre 1 carte ou 1 Or supplémentaire.
2. Renforts > On peut poser autant de cartes qu'on veut/peut dans l'une des 3 Cités, en appliquant les effets à chaque fois.
3. Augure > Les effets des Oracles se déclenchent.
4. Exploit > On vérifie si on remplit une ou plusieurs des conditions listées sur ses cartes Exploit (avoir 1 Soldat dans chaque Cité, avoir pioché 5 cartes dans le tour, avoir 5 unités dans la même Cité, etc.). Si c'est le cas, on retourne face-down la ou les cartes concernées.
5. Bastooon > Si, dans une Cité, il y a 5 unités au total ou au moins 3 unités dans le camp adverse, il y a fight. On additionne les valeurs de Force, le plus costaud gagne et prend une carte Faveur (un effet puissant qu'il pourra utiliser plus tard s'il le souhaite). Ensuite, le vainqueur défausse toutes ses unités sauf une, le perdant toutes ses unités sauf deux. Oui, la guerre ça tue.
6. Offrande > On peut défausser une carte de sa main pour faire une offrande aux dieux. On gagne alors autant de cartes ou de pièces (ou un mix des deux) que la valeur d'Offrande de la carte défaussée.
La partie peut prendre fin de deux manières :
- Un joueur a retourné face-down 5 de ses 6 cartes Exploit.
- Deux des trois Cités sont vides (plus de cartes Faveur).
On calcule les points comme suit :
- Chaque carte Exploit face-down : 2 points
- Chaque carte Faveur non-utilisée : 2 points
- Chaque carte Faveur utilisée : 1 point
Et voilou. Bon jeu, très bon jeu, qui paraît vraiment simpliste au premier abord (je pose mes persos, j'applique leur effet, point), mais qui me semble vraiment beaucoup plus subtil qu'il n'en a l'air. Hâte de le tester pour de bon, celui-là.
Tout comme Gosu d'ailleurs, on retrouve le gros deck unique dans lequel tout le monde pioche... mais, et c'est un des gros points forts du jeu, l'auteur a également intégré de nombreuses variantes : draft pur, draft par type de carte, deckbuilding, deck identique pour chaque joueur, etc. Bref, on peut varier les plaisirs.
Dans ce gros deck, on trouve trois types de cartes :
Soldats
Oracles
Bêtes
Sur chaque carte, on peut voir de haut en bas : son coût en Or, sa valeur d'Offrande, sa Force et une capa. Les Soldats (présents en x4 dans le deck) ont tous une capa qui se déclenche à la pose, les Oracles (x3) ont une capa qui se déclenche dans une phase précise et nécessite de révéler un autre Oracle sur le dessus du deck pour être améliorée, les Bêtes (x3) n'ont aucune capa si on les pose (mais beaucoup de Force), en revanche on peut toujours payer leur coût et les défausser pour déclencher un effet souvent violent.
Il y a également 12 cartes Faveur, posées en trois piles entre les deux joueurs (ce sont les Cités qu'il faudra attaquer), et un set de 6 cartes Exploit identiques par joueur, posées face-up.
Le tour d'un joueur se décompose comme suit :
1. Richesse > 3 actions à dépenser, soit pour piocher, soit pour gagner 1 Or. Si on dépense ses 3 actions pour faire la même chose, on peut prendre 1 carte ou 1 Or supplémentaire.
2. Renforts > On peut poser autant de cartes qu'on veut/peut dans l'une des 3 Cités, en appliquant les effets à chaque fois.
3. Augure > Les effets des Oracles se déclenchent.
4. Exploit > On vérifie si on remplit une ou plusieurs des conditions listées sur ses cartes Exploit (avoir 1 Soldat dans chaque Cité, avoir pioché 5 cartes dans le tour, avoir 5 unités dans la même Cité, etc.). Si c'est le cas, on retourne face-down la ou les cartes concernées.
5. Bastooon > Si, dans une Cité, il y a 5 unités au total ou au moins 3 unités dans le camp adverse, il y a fight. On additionne les valeurs de Force, le plus costaud gagne et prend une carte Faveur (un effet puissant qu'il pourra utiliser plus tard s'il le souhaite). Ensuite, le vainqueur défausse toutes ses unités sauf une, le perdant toutes ses unités sauf deux. Oui, la guerre ça tue.
6. Offrande > On peut défausser une carte de sa main pour faire une offrande aux dieux. On gagne alors autant de cartes ou de pièces (ou un mix des deux) que la valeur d'Offrande de la carte défaussée.
La partie peut prendre fin de deux manières :
- Un joueur a retourné face-down 5 de ses 6 cartes Exploit.
- Deux des trois Cités sont vides (plus de cartes Faveur).
On calcule les points comme suit :
- Chaque carte Exploit face-down : 2 points
- Chaque carte Faveur non-utilisée : 2 points
- Chaque carte Faveur utilisée : 1 point
Et voilou. Bon jeu, très bon jeu, qui paraît vraiment simpliste au premier abord (je pose mes persos, j'applique leur effet, point), mais qui me semble vraiment beaucoup plus subtil qu'il n'en a l'air. Hâte de le tester pour de bon, celui-là.
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Hojyn - The Ashalan Wanderer
I have travelled the world, and I have seen more than you could ever imagine. I have seen men with the heads of tigers, corpses wearing porcelain masks and women whose arms were great rainbow-colored wings. The one thing I don't know is where I'll be tomorrow.
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